Description
L’auteur et illustrateur Sylvain Rivard poursuit la série jeunesse sur l’anthropologie du vêtement chez les Autochtones, « C’est la terre qui m’habille », avec un huitième titre, en s’intéressant cette fois-ci à la mitasse.
La mitasse, dont le mot est dérivé des langues algonquiennes, servait à couvrir la jambe pour la protéger du froid. Cette sorte de jambière autochtone pouvait être brodée de poils d’orignal ou de piquants de porc-épic, arborer des pompons ou des boutons, être faite d’écorce ou de coton. Elle était tellement pratique que même les cowboys et les motards l’ont adoptée! Rivard visite plusieurs nations pour nous faire découvrir différents types de mitasses et nous mentionne au passage que les jambières de gardien de but n’y sont pas si étrangères.
La mitasse est trilingue, proposant des versions en français, en anglais ainsi qu’en wolastoqey (langue malécite).
La mitasse, dont le mot est dérivé des langues algonquiennes, servait à couvrir la jambe pour la protéger du froid. Cette sorte de jambière autochtone pouvait être brodée de poils d’orignal ou de piquants de porc-épic, arborer des pompons ou des boutons, être faite d’écorce ou de coton. Elle était tellement pratique que même les cowboys et les motards l’ont adoptée! Rivard visite plusieurs nations pour nous faire découvrir différents types de mitasses et nous mentionne au passage que les jambières de gardien de but n’y sont pas si étrangères.
La mitasse est trilingue, proposant des versions en français, en anglais ainsi qu’en wolastoqey (langue malécite).